The Potato Lab épisodes 5 et 6 : romance, malentendus et patates chaudes

Si vous cherchiez une romance qui vous fait tourner en rond comme une patate dans un micro-ondes, The Potato Lab est là pour vous. Les épisodes 5 et 6 nous offrent un mélange savoureux de tension, de malentendus et de moments où l'on se demande si nos héros vont enfin se rapprocher ou continuer à danser leur valse hésitante. Préparez-vous, car cette série continue de nous servir des scènes aussi addictives que des frites bien croustillantes.

L'épisode commence avec une scène digne d'un roman gothique : une nuit sombre et orageuse où Baek-ho, notre héros stoïque, vient au secours de Mi-kyung, notre héroïne dévouée, qui lutte pour protéger ses précieuses patates. Oui, vous avez bien lu, des patates. Leur moment sous la pluie est romantique à souhait, avec un en-cas de minuit composé de ramyeon aux saveurs de patate (pour elle) et de patates bouillies (pour lui). On sent déjà que l'attraction est palpable, mais comme toujours dans les dramas coréens, rien n'est simple.

Baek-ho, intrigué par le dévouement de Mi-kyung, lui demande pourquoi elle s'épuise à faire des tâches qui ne sont même pas dans sa description de poste. Elle répond avec une conviction qui fait presque pleurer : elle croit que le travail acharné finira par payer. Mais la question qui brûle les lèvres de tout le monde est : est-ce que cela suffira à sauver son emploi ? Spoiler alert : probablement pas.

Et puis arrive Hee-jin, la femme mystérieuse qui s'installe chez Baek-ho. Mi-kyung et Ong-ju, nos deux curieuses de service, se transforment en espionnes amateurs, équipées de jumelles et de tenues de camouflage. Hee-jin, toujours aussi directe, les invite à un barbecue. Et là, c'est le drame : Mi-kyung et Ong-ju concluent à tort que Hee-jin et Baek-ho sont en couple. Mi-kyung, blessée, confronte Baek-ho, qui, bien sûr, ne comprend rien à son accusation.

Mais Hee-jin, avec son franc-parler légendaire, éclate de rire et explique qu'elle ne sortirait jamais avec un "esclave du capitalisme" comme Baek-ho. Ouf, la tension retombe, mais Mi-kyung commence à se demander si elle est la mystérieuse femme qui intéresse Baek-ho. Ong-ju, quant à elle, est convaincue que Mi-kyung est bien celle-là. Mais Mi-kyung doute : comment un homme qui l'aime pourrait-il la licencier ?

Ki-se, l'ex de Mi-kyung et ennemi professionnel de Baek-ho, entre en scène et complique encore les choses. Il révèle à Mi-kyung qu'il est celui qui l'a ajoutée à la task force, non pas par altruisme, mais par pitié. Ouch. Mi-kyung, furieuse, tente de le frapper avec sa chaussure, mais Baek-ho arrive à temps pour interrompre cette scène hilarante.

Plus tard, Baek-ho et Mi-kyung partent en road trip pour vérifier la croissance d'une nouvelle variété de patate, le Maroo. Ce voyage est l'occasion pour eux de se rapprocher, avec des moments tendres et des confessions surprenantes. Baek-ho avoue même avoir pleuré pendant le film Coco. Qui n'a pas pleuré, d'ailleurs ?

Pendant ce temps, Ong-ju réalise qu'elle est jalouse de Hee-jin, qui passe beaucoup de temps avec Hwan-kyung. Elle confesse ses sentiments à ce dernier, et après quelques hésitations, ils finissent par s'embrasser. Et oui, ça chauffe entre eux. Enfin, une romance qui avance !

De retour au Potato Lab, Baek-ho devient distant avec Mi-kyung, refusant même de l'accompagner à une réunion. Mi-kyung, blessée, découvre qu'il a officiellement soumis les papiers de son licenciement. Mais tout n'est pas perdu : elle remarque une fleur sur le balcon de Baek-ho, symbole de leurs sentiments naissants. Elle le confronte et lui demande : "Qu'est-ce que je représente pour toi ?" Sa réponse ? "Une ligne que je veux franchir."

Et là, on fond. Cette réplique est un véritable coup de grâce, qui redonne tout son éclat à cette romance pleine de rebondissements. Les épisodes 5 et 6 de The Potato Lab nous offrent enfin ce mélange parfait de romance et de tension professionnelle, avec des personnages qui évoluent et des scènes qui nous font vibrer. Alors, prêts à continuer cette aventure patatoïde ? Parce que moi, je suis accro.