Familles recomposées dans les K-dramas : l’art des liens choisis émouvants

Familles recomposées dans les K-dramas : l’art des liens choisis émouvants
Le 04/08/2025 à 16:14Par Ryu Blitz
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Alors que Head Over Heels vient de tirer sa révérence, on se retrouve à ruminer sur cette fin en demi-teinte. Entre les larmes, les rires et les "ah non, pas ça !", un élément a brillé comme un diamant dans la boue : la famille recomposée de Kyun-woo. Et ça, mes amis, c'est la spécialité maison des dramas coréens.

Kyun-woo et sa tribu de marginaux

Imaginez : un gamin maudit, rejeté par sa propre famille, élevé par une grand-mère aussi solide qu'un rocher. Puis boum, la vie frappe. Adieu mamie, bonjour solitude. Mais voilà que notre anti-héros se retrouve entouré d'une bande de paumés magnifiques. Son coach d'archerie qui cache un cœur en or, son meilleur ami Ji-ho (le fameux second male lead parfait, celui qui nous fait hurler "CHOISIS-LE !"). Une famille choisie, bien plus forte que les liens du sang.

Les dramas coréens ont ce talent cruel de nous montrer des solitaires qui finissent par former des clans improbables. Des liens qui se tissent dans la douleur, les rires et les bols de ramen partagés à 3h du matin.

Les familles électriques de Dramaland

Qui n'a pas sangloté devant la bande de Itaewon Class ? Un ex-taulard, une transfuge, une fille géniale mais insupportable... Leur restaurant était plus qu'un lieu de travail, c'était un refuge. Même topo pour Hospital Playlist et ses médecins qui passent plus de temps ensemble qu'avec leur propre famille. Leur amitié ? Une perfusion d'émotions pures.

Et n'oublions pas Reply 1988, LE chef-d'œuvre des familles de cœur. Ces voisins qui s'engueulent, se soutiennent, se volent leur dîner... C'était nous. C'était nos vies. Dramaland a ce don pour transformer des inconnus en frères d'armes.

Pourquoi ça marche ?

Parce qu'au fond, on est tous des Kyun-woo. Des gens qui traînent leurs valises émotionnelles en espérant trouver leur tribu. Les dramas coréens nous rappellent que la famille, ça se construit. Dans les larmes, les fous rires et les "t'as encore fini mon kimchi, espèce de voleur !".

Alors, prêts à ouvrir votre cœur à ces familles improbables ? Attention, ça pique un peu... mais ça vaut le coup. Et si vous pleurez, dites-vous que c'est juste de la poussière dans l'œil. Ou pas.

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