Boryoku Banzai
Préparez-vous à en prendre plein la gueule, parce que "Boryoku Banzai" débarque dans le paysage manga avec la subtilité d’un coup de poing en pleine face. Ce nouveau bébé de Homura Kawamoto, le génie derrière Kakegurui, vient de faire son apparition dans le Young Magazine ce 3 mars. Et on peut déjà dire que ça va faire mal.
L’histoire ? Un lycéen lambda, Akita Masamichi, qui se contente de vivre sa vie en mode "évite les problèmes". Mais tout bascule quand il croise la route de Rokudo Setsuna, une lycéenne qui pense que la violence est la seule loi qui vaille. Oui, vous avez bien lu : une meuf qui balance des bourre-pifs comme d’autres envoient des textos. Akita, sauvé par elle d’une embrouille avec des voyous, est instantanément fasciné par sa force brute. Et là, il fait la demande la plus stupide de sa vie : "Apprends-moi à me battre." Spoiler : ça ne se passe pas comme dans Karate Kid.
Rokudo, avec son mantra "La violence est la seule règle de ce monde", va lui faire comprendre que la vie, c’est pas un anime shonen où tout finit bien après un entraînement montage. Non, ici, on parle de coups qui font mal, de leçons qui marquent, et d’un plongeon dans un univers où la loi du plus fort règne en maître. Akita va devoir apprendre à naviguer dans ce monde brutal, et on sent déjà que ça va être un sacré trip.
Kawamoto, avec son style habituel, nous balance une histoire qui mélange violence, psychologie et une pointe de folie. Si vous avez aimé l’intensité de Kakegurui, vous allez adorer ce nouveau projet. Et pour ceux qui se demandent si c’est juste un énième manga de baston, détrompez-vous. Ici, la violence est un outil narratif, une métaphore de la lutte pour la survie dans un monde qui ne fait pas de cadeaux.
Alors, prêts à plonger dans l’arène ? Parce que "Boryoku Banzai", c’est plus qu’un manga, c’est un uppercut littéraire qui ne vous laissera pas indemne. Et si vous pensez que la violence n’est pas une solution, attendez de voir ce que Rokudo a à vous dire. Spoiler : elle va vous faire changer d’avis. Ou vous mettre KO. Ou les deux.
En attendant, on vous laisse avec cette pensée : dans un monde où tout le monde joue les gentils, parfois, il faut savoir montrer les crocs. Ou les poings. À vous de voir.